11th octobre 2007

Mes proverbes

Salut!

Voilà, n’ayant pas écrit de poème cette semaine je vous montre les "proverbes" que j’ai écrit un peu partout et qui s’étallent sur plusieurs mois, le dernier ayant été écrit mardi en cours de SVT.

Dites moi ce que vous en pensez, bye

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"Nous pauvres humains, nous sommes obligés de croire au futur pour donner au présent un sens."

"On écrit jamais pour ne rien dire."

"La pluie c’est les larmes d’un couple de nuage obligé de se séparer."

"Les larmes sont les pires armes: elles peuvent fendre le coeur."

"On a souvent peur de perdre quelque chose que nous n’avons pas encore acquis."

"Les hivers passent au fil des mois que tricotent les saisons."

"L’homme a toujours voulu tout maîtriser et tout prévoir, mais il y a une chose qui lui échappe et le controle, lui : ses sentiments."

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4th octobre 2007

Souffle les mots!

Salut!

Voici mon dernier poème en chanson. Et pour la première fois j’ai fait de la césure!!

Il est basé sur la chanson "les lionnes" de Yannick Noah: http://www.youtube.com/watch?v=WcUcaGVE7n4&mode=related&search=

Je n’ai plus qu’une phrase à dire: Protégez la Terre!!!

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Souffle les mots!

Prend ta plume, perce le nuage,

L‘espoir se consume, donc arrose ta page.

Souffle les mots, fais le chaque jour,

C‘est tellement beau, d’écrire par amour.

 

Prend ta plume, crie ta pensée,

Va-y assume, ce que tu transmets.

Souffle les mots, fais le chaque jour,

C‘est tellement beau, d’écrire par amour.

 

Un mot peut tout changer, n’abandonne pas.

Comprends-tu le danger, qui s’approche pas à pas ?

As-tu envisager, son proche trépas ?

Un mot peut tout changer, s’il te plaît n’abandonne pas.

 

Prend ta plume, c’est important,

Il faut que t’allume, les remords chez les gens.

Souffle les mots, fais le chaque jour,

C‘est tellement beau, d’écrire par amour.

 

Notre Terre se meurt, entends tu ses pleurs ?

Notre Terre a peur, entends-tu son coeur ?

Mais tout peut s’arranger, écris pour son bonheur.

Un mot peut tout changer, s’il te plaît n’abandonne pas.

Un mot peut tout changer, s’il te plaît n’abandonne pas.

Un mot peut tout changer, s’il te plaît n’abandonne pas.

Un mot peut tout changer, s’il te plaît n’abandonne pas.

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27th septembre 2007

Larmes d’encre

Salut!

Voici ma dernière chanson basée sur le célèbre "My heart will go on, Titanic"

Je me suis mise à la chorale, ça m’aidera peut être…et puis c’est super!!

Bonne lecture, j’espère que ça vous plaira.

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Larmes d’encre

Une larme d’encre,

Se répand, doucement,

Sur ma tristesse elle – s’étend.

 

Doux visage si lisse,

Tacheté de douleur,

Viens épanche donc mon – malheur.

 

Pour lui, j’ai versé des larmes,

Car j’ai succombé à son charme.

Ces vers, je les lui dédie,

Comme ces larmes que je maudis,

Je dois l’oublier à jamais.

 

Une larme se déroule,

Et dévoile ma peine,

Noir éclat d’espoir qui s’écoule.

 

Dur chagrin qui me mène,

Par la main et me guide,

Près d’un gouffre devant – le vide.

 

Pour lui, j’ai versé des larmes,

Car j’ai succombé à son charme.

Ces vers, je les lui dédie,

Comme ces larmes que je maudis,

Je dois l’oublier à jamais.

 

Tache d’encre, abîme qui s’accroît,

S‘il te plaît, engloutis ma – tristesse.

Va-t’en, je n’veux pas de toi,

Souvenir qu’il me laisse,

Je dois l’oublier à jamais.

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20th septembre 2007

Dis le moi.

Salut!

Voilà, je vous poste mon dernier poème…qui est un peu plus qu’un "simple" poème. En réalité, cette semaine, ma grand mère est venu nous voir (!!!) et quand je lui ai montré ce que je faisais elle m’a donné l’idée d’écrire des chansons. Alors le soir même j’étais devant ma feuille en train de me creuser les méninges à changer les paroles d’une chanson que j’adore: "Listen to your heart" http://www.youtube.com/watch?v=lWwFXH2NPJE

Désolé, il faudra que vous ajustiez vous même air et paroles… Au début j’en ai été dégoûté…je sais pas trop pourquoi mais maintenant j’en suis fière :)

Voilà, bonne lecture.

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Dis le moi.

S‘il suffisait de lui dire "je t’aime",

Pour qu’il me réponde "tu sais moi de même" yeah,

Ca s’rait un rêve, qui vient de commencer,

Le bonheur qui me rejoint, vient m’embrasser.

 

Accompagne moi,

Si tu me fais confiance,

Accompagne moi,

Donne moi, rien qu’une chance,

Ecoute mon coeur qui bat pour toi,

A toutes heures tous les jours,

Donc accompagne moi,

Dans un tourbillon d’amour.

 

Pourtant je sais, je ne pourrai lui dire,

Tous les sentiments qu’il m’a fait ressentir, yeah.

Je crains de perdre, ce que j’ai sus obtenir,

La confiance qu’il a en moi, et son sourire.

 

Accompagne moi,

Si tu me fais confiance,

Accompagne moi,

Donne moi, rien qu’une chance,

Ecoute mon coeur qui bat pour toi,

A toutes heures tous les jours,

Donc accompagne moi,

Dans un tourbillon d’amour.

 

Ce voeu restera donc, un souhait inassouvi,

Un espoir futile, juste une simple envie,

Le désir muet, que je cache sans cesse,

Ce souvenir, qui me blesse.

 

Accompagne moi,

Si tu me fais confiance,

Accompagne moi,

Donne moi, rien qu’une chance,

Ecoute mon coeur qui bat pour toi,

A toutes heures tous les jours,

Donc accompagne moi,

Dans un tourbillon d’amour.

 

Accompagne moi,

Si tu me fais confiance,

Accompagne moi,

Donne moi, rien qu’une chance,

Ecoute mon coeur qui bat pour toi,

A toutes heures tous les jours,

Donc accompagne moi,

Dans un tourbillon d’amour.

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13th septembre 2007

La nuit

Salut!

Voici un nouveau poème que j’ai écrit il y a peux près 4-5 jours. Mais il fallait que j’attends une semaine pour vous le montrer (arg), mon but étant de ne pas me retrouver à cours de texte vers la fin de l’année scolaire quand j’aurai moins le temps.

Sinon, ma rentrée c’est bien passée, ouf je suis dans la même classe! Vous imaginerez pas, lundi soir, alors que mardi allait être le premier jour de cours, je me suis réveillé à 4 h du mat et j’ai été incapable, malgré tout mes efforts, à me rendormir! Je suis encore assez contente d’aller en cours. Ils sont ennuyeux ce qui ne m’aide pas mais je discute pas mal… Enfin, stop le blabla, c’est un blog littéraire à pas oublier…

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La nuit

Son sombre voile percé d’étoiles se pose,
Lentement sur la peur et les tourments des gens.
Son immense oeil s’entrouvre et sur nous il dépose,
Un regard radieux qui a traversé les ans.

L‘obscurité nous étreint et l’espoir s’éteint.
La Lune illumine la dure solitude,
D‘une Terre mystérieuse où chaque matin,
Le réveil; d’une âpre journée est le prélude.

Nous cherchons donc à échapper au cauchemar,
Et le sommeil nous mène au pays des merveilles.
Ici le bonheur est infini mais le ciel,

Brandit déjà son brillant sabre: c’est trop tard.
Tel chaque fois, il transperce le voile noir:
Le souverain est bien de nouveau au pouvoir.

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6th septembre 2007

Résurrection

Salut!

Voilà mon nouveau sonnet. C’est fou le nombre de contrainte désormais que j’ai rajouté les assonances et allitération! Je l’ai terminé hier soir vers les 10h 30…et vous savez la nuit j’ai rêvé de pieds et de rimes. C’était atroce, dès que je pensais à un truc mon esprit cherchait une phrase qui rime… "J’ai sommeil…eil…eil…abeille" Un des nombreux exemples ;) Conclusion: ne jamais écrire avant de dormir.

Aie plus que 4/5 jours avant la rentrée…encore ça va, je suis assez contente de reprendre les cours…mais bon vous verez dans un mois je maudirai ces propos…

Enfin, bonne lecture :)

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Résurrection.

Dans un mois tu auras froid, toi, grand bois en deuil.
Tes arbres regardent le vent qui les désarme,
La vie qui s’en va si vite de leurs aïeuls,
Et le sol qui recueille lentement leurs larmes.

Soudain à leurs pieds des milliers de brasiers naissent,
Consumant leur dernier fragment d’existence.
Demain viendra l’hiver coquin qui rien ne laisse,
Sauf un suaire blanc sur les arbres sans défenses.

Mais n’ai pas peur du puissant tueur qui fait route:
Dans le ciel le soleil veille et son baiser,
Attend le moment propice pour se poser.

Ce souffle pousse la vie dans tes bras, t’envoûte,
Tu t’étires, grandis, essayes de le saisir.
Désormais des baisers te couvrent, quel plaisir!

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31st août 2007

La Louve du lac

Salut!

Me voilà revenu de vacances… aie les dernières. N’ayant rien écrit durant cette semaine (bah oui, plage, bouquin, plage….) je vous montre un texte qui date de juin où je mélange prose et poésie.

Je l’avais fait pour un de mes forums à partir d’une image imposée mais j’arrive pas à vous la mettre…je vous donne le lien direct au forum alors: http://lesterresoubliees.forumpro.fr/Place-d-affrontement-f28/Concours-pour-les-un-an-du-forum-t617-0.htm L’image est celle qui devait être dans le texte. Mais bon, je vous mets une image de loup quand même….je les adore.. Bonne lecture :) __________________________________________

La louve du lac.

Vous est-il déjà arrivé de détenir un secret que vous ne pouvez dévoiler sous peine de passer pour une personne folle? Une chose que vous ne pouvez dire ni même à votre meilleur ami(e) ou votre conjoint? Je ne vous le souhaite pas. C’est un lourd fardeau à porter et nul ne peut vous aider, vous devez rester seul, unique détenteur du secret. Mais parfois, malgré tout, vous aimeriez l’ hurler, que toute la Terre le sache. Seulement c’est impossible, vous le savez bien… Je vais vous raconter quelque chose qui m’est arrivée il y a longtemps, me liant au silence et m’incitant à ne faire confiance qu’à moi même…les autres se moquaient bien trop les rares fois où je le leur ai rapporté. Croyez moi s’il vous plaît ou oubliez moi.

J’étais jeune à cette époque et ne devais pas avoir plus de vingt ans. Je me promenais en forêt ce jour là, si j’avais su je n’y serai jamais allée… Le soleil était haut dans le ciel et l’après-midi s’annonçait chaud. Après une heure de marche la chaleur devint insupportable et je me dirigeais alors vers le lac situé au milieu du bois. Tandis que je brisais la monotonie de l’étang y trempant mes pieds et arrosant mes bras d’eau fraîche j’aperçus soudain une chose à la surface. Ne distinguant pas ce que c’était je dus attendre qu’elle se rapproche, poussée par le vent pour l’attraper et l’observer. C’était un bout de papier sur lequel était dessiné quelque chose pour l’instant flou. Il était trempé et ayant peur de le déchirer en le manipulant je le déposais au soleil. Je patientais un moment rêvant à ce qu’il pouvait y être marqué. Mes espérances avaient de grandes chances d’être déçues, des papiers, ils y en avaient des centaines qui jonchaient la forêt et je ne m’y étais jamais intéressés… à quoi bon si c’étaient des emballages de gâteaux. Seulement celui là attirait mystérieusement mon attention et éveillait mon imagination. Quand il fut sec je le regardais attentivement déjouant les mirages provoqués par l’eau. L’image était spectaculaire! Mais au lieu de vous la décrire car ce sera loin de la vérité je vais vous la montrer: Soudain une mélodie emplit mes oreilles, tout d’abord faible elle s’amplifia petit à petit. Envoûtée je fermais les yeux et me laissais emporter par les paroles…

Mon chéri, mon amour,

Dès le premier jour,

Ton regard si rassurant m’a séduit,

Et je rêvais de toi toutes les nuits.

 

Au début j’étais la seule à te chérir,

Mais tu m’as très vite rendu mon sourire.

Nous vécûmes des moments de bonheur ensemble,

Et tu es toujours à mes côtés il me semble.

 

Seulement ce n’est qu’une illusion,

Un mirage une hallucination.

Aujourd’hui lugubre soir d’hiver,

J’ai choisis de t’écrire ces vers,

Pour qu’ enfin en cette nuit noire,

Tu comprennes mon désespoir.

 

Je baigne dans la tristesse,

Je voudrais que cela cesse.

Les larmes coulent sur mon visage,

Tout oublier serait bien plus sage.

 

Nul ne peut comprendre,

La douleur d’attendre,

Un homme qui ne reviendra jamais,

Et que l’on ne peut arrêter d’aimer.

 

Cela fait déjà tellement longtemps…

Nous étions partis au bord de l’étang,

J‘étais suspendue à tes lèvres,

Cependant notre joie fut brève.

 

Brutalement tout s’enchaîna,

Et notre bonheur se fana.

Une louve devant nous qui gronde,

Alors que nous sommes seuls au monde.

Mon hurlement débordant d’horreur,

Croyant qu’était arrivé mon heure.

La bête féroce qui bondit,

Voulant m’emporter au paradis.

Seulement tu étais avec moi,

Et rapidement tu fis ton choix:

Bravement tu me projetas sur le bord,

Me remplaçant sur le chemin de la mort.

 

Des perles embuaient mes yeux,

Et je ne pus te dire Adieu.

Car avant que je ne m’évanouisse,

Frappée par une pierre destructrice, 

Je vis la louve t’emporter,

Dans le lac pour l’éternité.

 

Dans mon esprit s’insinua le brouillard,

Et je ne me réveillais que bien plus tard.

Je pleurais longtemps, abreuvant les plantes, 

De mes larmes jusqu’à la nuit tombante.

Tel un fantôme je regagnais ma maison,

Regardant le sombre destin à l’horizon.

 

Ce qui était survenu, je n’en savais rien,

Seulement que désormais tu n’étais plus mien.

Quand je racontais ce qui t’était arrivé,

Nul ne me croyait, tous pensaient que je rêvais.

 

La louve pouvait être sereine,

Personne n’irait dans son domaine,

Rendre justice pour son horrible crime,

Me laissant sombrer dans un profond abîme.

 

Comprends tu à quel point je souffre,

De ne pouvoir sortir du gouffre?

J’ai longtemps essayer de tourner la page,

Mais la douleur ne part pas avec les âges.

 

J’ai compris que tu ne quitterais pas mon coeur,

Seul refuge pour trouver un peu de bonheur.

Je ne peux t’effacer de ma mémoire,

Alors j’ai pris ma décision ce soir:

Au moment même où le soleil viendra à poindre,

Mon chéri, mon tendre amour, j’irai te rejoindre.

Je sortis soudain de mon abrutissement, mon coeur battant à un rythme effréné. Je regardais alors le fond du lac. Sous son chatoiement résidait les corps des amoureux et la louve du lac… Effrayée et horrifiée, je bondis sur la berge, ne pensant même plus à m’y baigner.

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24th août 2007

Lien Invincible

Salut!

Voilà, avant de repartir une semaine en vacances (quoi que j’y suis déjà), je vous poste un texte que j’ai écrit cette année il y a quelques mois. Il se rapporte à WOW mais j’espère que vous comprendrez. Petit rappel: Raz de Néant, Un Goro, Teldrasil et Gangrebois sont des régions D’Azeroth dont j’ai décrit si nécessaire dans le texte. Ma région d’origine est Teldrasil, une magnifique île forestière peuplées par les elfes de la nuit. Ragnaros est le Seigneur du Feu qui réside au Cœur du Magma, mais cela n’a pas trop d’importance, c’est juste un gros méchant que ma guilde et moi avons vaincu. Si vous ne vous souvenez pas trop de l’histoire de Talisman, il est judicieux de retourner lire "Histoire de Talisman" dans ce blog quelques pages avant. Si vous avez des questions n’hésitez pas.

Bonne lecture.

Liens invincibles

Je suis assise sur un rocher parmis tant d’autre peuplant cette zone aride et déprimante nommée Raz de Néant. Chaton dort à mes côtès se sachant en sureté auprès de moi et je n’ose pas le réveiller; lui aussi à mérité du repos après notre course effrénée vers la connaissance ultime. Alors pour passer le temps je replonge dans mes souvenirs. Teldrasil me manque tout comme l’innocence m’entourant à cette époque. Aujourd’hui mes armes sont baignées de sang et même si elles ont combattu une juste cause j’en ai honte. Certains à qui j’ai ôté la vie ne méritaient pas de mourir. Peut-être ressemblaient-ils à un ennemi que j’avais l’ordre d’assassiner… Désormais mes yeux me guident tandis que cela devrait être mon coeur. La paix pour régner a besoin que des gens innocents se sacrifient. C’est injuste, ceux là n’ont rien choisi, ils suivent simplement leur destin. Moi, j’ai défié le mien et j’ai gagné car nous étions deux contre lui…

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