16th
janvier
2011
Salut !
Aujourd’hui débute une nouvelle partie qui sera composée des différents textes en rapport avec l’Arctique.
Ils seront mis à jour comme d’habitude toutes les deux semaines environ mais dans une autre catégorie intitulée : Expédition en Arctique 2010.
Je vous ferai signe sur la page d’accueil chaque fois qu’il y aura un nouveau post !
1 – L’Arctique une biodiversité menacée ? (publié le 18 septembre 2010)
2- Âme d’Arctique (publié le 2 octobre 2010)
3- Journal de bord (1/3) (publié le 16 octobre 2010)
4- Tableau d’Arctique (publié le 30 octobre 2010)
5- Journal de bord (2/3) (publié le 9 novembre 2010)
6- Journal de bord (3/3) (publié le 5 décembre 2010)
7- Marée Noire (publié le 18 décembre 2010)
8- L’Arctique fond, on doit en payer l’addition (publié le 16 janvier 2011)


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1st
janvier
2011
Salut !
Bonne année à tous et à toutes !
Voici un poème que j’ai écrit il y a quelques mois, vers septembre. C’est une amie, Marine R. qui m’a inspirée lorsqu’un jour elle a joué pour moi de la mandoline.
J’espère qu’il vous plaira.
Bye et bonne lecture.
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Muse-ique
Nos âmes de verre sans bruit au sol se brisent.
Quand la balle fend l’air les mensonges nous visent.
Puis tous on éclate comme un rire blessé,
L’ironie se hâte, sous-rire menacée.
On reste statique, sur Terre les cœurs gisent.
Douleur électrique le cristal tu irises.
Mais l’espérance est vaine : au fond la vérité,
Balafre de peine, n’est qu’illusion ratée.
Et tu pinces mon âme, affermie ton emprise.
Soudain tu entames, la folie s’éternise.
La raison bascule quand l’ardeur débridée
Dans le crépuscule l’esprit vient lapider.
Enchaînée à tes cordes, à ta voix, la brise
Déverse une horde de larmes qui attisent
L’aliénation. L’arme mes yeux a déchiré.
Tes notes ont un charme qui sait me dénuder.
Et mes doigts s’agitent comme le rythme en crise.
Mélodie, si vite, tu danses et cicatrises
L’esprit. Mais il subsiste une invisible plaie :
Aux pleurs ne résistent les paupières fermées.
Puis tu m’offres un fragment de ton cœur. Je l’avise.
Temps d’émerveillement. L’harmonie est émise.
Juste une caresse ; je peux crier, hurler
Quand la vie me blesse j’aimerai le jouer.

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